Les dimanches se suivent et se ressemblent chez les dames. Une nouvelle fois nous avons assisté à un clasico en finale du WPT à Bruxelles et le public a eu droit à du padel champagne dans un match renversant.
Un match spectaculaire
Dans le premier set, Josemariá/Sanchez et Triay/Salazar se rendent coup pour coup. Break, débreak, les jeux s’enchaînent et il est difficile de gagner son jeu de service. Les numéros un parviennent à faire la différence et confirment leur break à 5/3. Mais Triay et Salazar n’ont pas dit leur dernier mot et relancent le set. Tendues par leurs fautes, les numéros un subissent et traversent un passage à vide. Le premier set se joue au tie-break. Triay et Salazar retrouvent confiance et sont plus conquérantes. Avantage pour les numéros deux mondiales 7/6 (3).

Dans la deuxième manche, Josémaria et Sanchez retrouvent des couleurs. Les numéros un sont plus justes dans le jeu. A 5/3 cette fois-ci le bras n’a pas tremblé, Josemaria et Sanchez reviennent à un set partout 6/3.

Un troisième set pour le trône
Dans la manche décisive, Josemariá et Sanchez gardent la même intensité et breakent d’entrée. Triay et Salazar ont les occasions pour débreaker mais pêchent dans la finition, les numéros un sont plus fortes dans les moments clés. Triay et Salazar courent après le score et laissent filer la rencontre. La messe semble dite à Bruxelles, Paula Josemaria et Ari Sanchez mènent 4/1 40/0 et pourtant comme dans le premier set, les numéros deux reviennent encore dans la partie. La confiance laisse place à la frustration pour Josemaria et Sanchez. La tension monte, les points spéctaculaires s’enchaînent sur le central Circus à Bruxelles. À 5/3 30/30 nous assistons à un point avec 30 échanges. Mais encore une fois, Josemaria et Sanchez prouvent qu’elles ont un mental d’acier et finissent par s’imposer en trois heures : 6/7 6/3 7/5.


Ari Sanchez : “Je n’ai pas de mot pour décrire cette rencontre. Dernièrement ça nous a couté cher de ne pas finir les matchs. Contre Triay et Salazar, les matchs sont toujours équilibrés ça s’est joué à des détails. Ces victoires ont encore plus d’importance pour nous.”
Paula Josemaria : “Ce furent trois heures très très longues. Comme nous, elles ont su souffrir. Je suis épuisée, que ce soit mentalement ou physiquement. Meme si ça a été dur, on a réussi et on est contentes de mettre en pratique le travail que l’on met en place avec notre équipe. On a joué un match très complet.”
Josemaria et Sanchez conservent leur trône
Josemaria et Sanchez confirment leur rang, elles ne sont pas numéros un pour rien. Douzième succès consécutif pour celles qui conservent leur trône. Pour Triay et Salazar, il n’y aura donc pas la raquette de bronze à 25 000€, qu’elles ratent donc pour un set.

Fan d’ovalie, de ballon rond mais aussi de sport de raquette, il a été piqué par le padel lors de son adolescence en Galice. Aussi à l’aise devant la caméra que derrière un micro, Vince saura apporter sa vision et son expertise de passionné de la petite balle jaune.

























































































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