Jorge Martínez, coach de Chingotto et Galán, s’est exprimé dans une interview accordée à VeinteDiez, et sa vision du padel est limpide : ce n’est pas un sport individuel qui se joue à deux, mais bien un véritable sport d’équipe.
“Je n’aime pas cette manière individualiste de concevoir une paire. Ce qui m’intéresse, c’est la logique d’équipe. Et une équipe, ça se complète. Il y a des jours où l’un brille plus que l’autre, mais ce qui compte, c’est que l’engrenage fonctionne.”
Une déclaration qui contraste avec la perception qu’ont certains joueurs du circuit, qui tendent à considérer le padel comme un sport individuel pratiqué à deux. Jorge, lui, rappelle que chaque performance est le fruit d’un travail commun, parfois invisible.
“Il y a des tâches qui ne se voient pas : bien relancer, bien servir, enchaîner une balle neutre de plus… Toutes ces petites choses permettent justement à son partenaire de s’exprimer davantage.”
Le coach refuse donc toute mise en avant individuelle isolée. Pour lui, l’alchimie d’un binôme passe par la complémentarité, l’adaptation et le respect des rôles. Une approche qui semble porter ses fruits avec Chingotto et Galán, auteurs de trois titres cette saison.
“Je continue d’insister : il faut valoriser l’équipe avant les individualités. Le padel est un sport d’équipe, que ça plaise ou non.”
Un rappel simple, presque nécessaire, à l’heure où les changements de partenaires se multiplient et où les dynamiques collectives sont parfois reléguées au second plan.
— VeinteDiez – PADEL (@VeinteDiez) May 26, 2025

J’ai découvert le padel directement lors d’un tournoi, et franchement, je n’ai pas trop accroché au début. Mais la deuxième fois, ça a été le coup de foudre, et depuis, je ne rate plus un seul match. Je suis même prêt à rester éveillé jusqu’à 3h du matin pour regarder une finale de Premier Padel !