Le champion de France en titre Bastien Blanqué était au micro de Lorenzo Lecci Lopez mardi, avant la journée cruciale d’aujourd’hui à Dubaï.

Padel Magazine : Comment trouves-tu les conditions ici à Dubaï ?

Bastien Blanqué : Les conditions sont top, il y a un terrain central qui est juste énorme, et six pistes à côté. On est dans le complexe où a lieu chaque année le tournoi de tennis ATP et WTA. On est bien reçu, l’hôtel est magique, on a une belle équipe de France cette année. Il y a du monde dans les tribunes, ça fait plaisir. Toutes les nations progressent. Bref, c’est un très bel événement sportif. 

PM : Vous êtes en forme en ce moment avec Thomas Leygue. Comment analyses-tu ce début de Mondial pour votre paire ?

B.B. : Le sélectionneur Pablo Ayma nous fait confiance suite au championnat de France. Il nous a fait jouer ensemble en misant sur nous comme point fort de l’équipe. C’est ce qu’on a fait jusqu’à présent en gagnant nos matches et on essaiera de continuer si on joue ensemble demain [Ndlr : ce mercredi].

PM : Comment êtes-vous physiquement en vue d’une journée avec deux rencontres à jouer, par une forte chaleur ?

B.B. : Eh bien, on n’a pas le choix, il faut jouer le matin dans des conditions très dures car il fait 30 ou 35 degrés dès 10 h, donc c’est très compliqué de jouer. L’idée est de gaspiller le moins d’énergie possible, tout en étant sérieux et en gagnant contre le Qatar [Ndlr : la France s’est imposée 3/0] .

Ensuite, on ira tout de suite se reposer pour jouer le soir dans des conditions très différentes. Le soir, c’est beaucoup plus lent, on tape beaucoup moins, les points sont plus longs. Mais au moins, il y a un peu d’air et il fait dix degrés de moins : ce sont des conditions parfaites pour jouer. Mais on sait que ce sera la guerre contre une très belle équipe du Paraguay cette année. On les avait battus aux Mondiaux l’an dernier en poule, 2/1. Et cette année encore il faut gagner pour aller chercher un quart de finale contre un second de poule.

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Après 40 ans de tennis, Jérôme tombe dans la marmite du padel en 2018. Depuis, il y pense tous les matins en se rasant… mais ne se rase jamais pala en main ! Journaliste en Alsace, il n’a d’autre ambition que de partager sa passion avec vous, que vous parliez français, italien, espagnol ou anglais.