Le circuit féminin continue de se réorganiser avant le P2 d’Asunción, et une nouvelle association attire les projecteurs : Jessica Castelló et Lorena Rufo font désormais équipe. Une paire inédite… mais pas totalement. Car les deux Espagnoles sont aussi partenaires dans la vie, un lien qui pourrait bien se transformer en avantage stratégique sur le terrain.

Une complicité à exploiter

Sur le papier, cette union a tout pour séduire : une excellente entente, une connaissance parfaite du jeu de l’autre, et un encadrement de qualité avec Miguel Sciorilli aux commandes. Le défi est simple : gagner en régularité pour franchir un cap. Car si Castelló comme Rufo ont déjà montré de belles choses sur le circuit, elles manquent encore de constance pour viser plus haut.

Une séparation qui coûte cher

Mais derrière ce nouveau projet se cache aussi une réalité comptable plus cruelle pour Jessica Castelló. En se séparant de Aranza Osoro, la joueuse espagnole sort du top 8 des têtes de série. Un recul au classement qui aura un effet direct dès Asunción : avec Lorena Rufo, elles seront têtes de série n°9, juste derrière le duo Jensen / Icardo, désormais propulsé à la huitième place.

Cette position signifie notamment un tirage plus complexe, sans protection contre les meilleures dès les huitièmes. Une réalité qui rend l’urgence de performer encore plus forte pour cette nouvelle paire.

Benjamin Dupouy

J’ai découvert le padel directement lors d’un tournoi, et franchement, je n’ai pas trop accroché au début. Mais la deuxième fois, ça a été le coup de foudre, et depuis, je ne rate plus un seul match. Je suis même prêt à rester éveillé jusqu’à 3h du matin pour regarder une finale de Premier Padel !