Federico Chingotto et Alejandro Galán ont décroché à Asunción leur troisième titre de la saison sur le circuit Premier Padel, après ceux de Miami et Santiago (finale pas joué suite au forfait de Stupaczuk). Un triplé qui a un point commun discret mais de plus en plus évident : Fernando Chingotto, le père de Fede.
À Miami, en mars dernier, Chingotto et Galán signaient leur premier titre cette saison. Dans les tribunes ? Fernando, déjà là, discret, aux côtés de Graciela, la mère de Federico. Une présence familière, bienveillante… et visiblement porte-bonheur, puisque ce jour-là, Fede mettait fin à 259 jours sans titre, depuis Gênes 2024.

À Asunción, rebelote. Cardona et Augsburger n’ont rien pu faire face à un duo en confiance, concentré, mais aussi bien entouré. Et dans les gradins, un visage familier : Fernando, encore lui. De quoi inspirer Fede, qui lâchait dans un sourire après les quarts :
“Avoir papa dans les tribunes, ça porte vraiment chance. Je vais devoir l’emmener à tous les tournois maintenant.”
Galán, lui aussi, ne s’y est pas trompé : à la fin de la finale, il célébrait bras dessus, bras dessous avec le paternel de son coéquipier. Une image forte, simple, qui témoigne du lien humain derrière les performances de haut niveau.
Et ce n’est pas la première fois que Fernando accompagne son fils : l’an dernier déjà, il était là au Mar Del Plata P1, où Fede et Ale avaient remporté le titre après une grosse remontée contre Coello / Tapia.

Cette semaine, le circuit fait justement étape à Buenos Aires. Si le patriarche est encore du voyage, on connaît déjà ceux qui auront un atout en tribune.

J’ai découvert le padel directement lors d’un tournoi, et franchement, je n’ai pas trop accroché au début. Mais la deuxième fois, ça a été le coup de foudre, et depuis, je ne rate plus un seul match. Je suis même prêt à rester éveillé jusqu’à 3h du matin pour regarder une finale de Premier Padel !