Une analyse de Padelonomics basée sur 500 points révèle des tendances claires concernant les choix de service des joueurs de haut niveau, lorsque le receveur est placé à droite. Deux configurations principales sont étudiées : le positionnement classique et le positionnement à l’Australienne.
Positionnement classique : priorité à la sécurité
Quand le partenaire du serveur couvre la parallèle du receveur, la vitre est la cible privilégiée. 60,5% des services sont joués dans cette direction. Ce chiffre monte même à 70% si le receveur est gaucher, car il s’agit alors de viser son revers, souvent un point plus faible. Cela montre une volonté claire des joueurs d’opter pour un service sûr et difficile à négocier.
Positionnement à l’Australienne : prise de risque maîtrisée
Lorsque l’on passe à un positionnement à l’Australienne, c’est-à-dire quand le serveur doit également couvrir la parallèle, la stratégie évolue légèrement. La proportion de services joués vers la vitre baisse à 49,6%, bien que cela reste un choix important. Cette diminution témoigne de la prise de risque accrue pour viser la vitre, notamment face à un receveur droitier capable de retourner avec son coup droit, généralement son coup le plus solide.
La vitre, une zone incontournable
Ces statistiques confirment que, quelle que soit la configuration, la vitre reste une des zone la plus recherchée au service au padel. Cela s’explique par la difficulté du retour, la nécessité pour le receveur de s’adapter à l’effet de la balle sur la vitre et l’opportunité pour le serveur et son partenaire de dominer rapidement le filet.
J’ai découvert le padel directement lors d’un tournoi, et franchement, je n’ai pas trop accroché au début. Mais la deuxième fois, ça a été le coup de foudre, et depuis, je ne rate plus un seul match. Je suis même prêt à rester éveillé jusqu’à 3h du matin pour regarder une finale de Premier Padel !