Qualifiés pour les 8e de finale de ce FIP Gold Perpignan, Ludovic Cancel et Dylan Guichard sont passés au micro de Padel Mag pour revenir sur leur victoire en 16e face à Xavi Rodriguez et Belar Vera.

” Au moment de l’interruption, on s’est dit que c’était pas grave ”

Padel Magazine : Quel match les gars ! Comment vous êtes-vous sentis après avoir raté cette balle de match à 6-4 5-4 punto de oro, et juste après, est arrivée la pluie qui a interrompu votre match durant 20 minutes ?

Dylan Guichard : « Un petit peu frustrés parce qu’on jouait très bien. On ne savait pas que ça allait être interrompu, donc on est resté dans notre match.

On a vraiment fait une très bonne partie, on était vraiment confiant et au moment de l’interruption on s’est dit que c’était pas grave parce qu’on avait le service derrière. Pendant le match on n’avait fait que des jeux de service où on a pas trop été dérangés. Je crois qu’ils sont allés à 30 maximum sur nos jeux de service (à part le dernier), donc j’étais assez confiant et je me suis dit que ça allait le faire. »

Padel Magazine : Quand vous avez vu David Mateo arriver et vous dire « non les gars on s’asseoit », vous vous êtes vraiment dit « C’est pas grave, on va attendre un petit peu » ?

Ludovic Cancel : « De toute façon on n’a pas le choix (rires), donc forcément on était dans notre dynamique. On espérait peut-être jouer directement, mais ça glissait donc bon…c’est le jeu on fait avec et on doit s’adapter aux conditions. »

Padel Magazine : Est-ce que vous avez trouvé par rapport à Perpignan que vous avez mieux joué, et que vous avez peut-être fait votre meilleur match tous les deux ?

Dylan Guichard : « Tous les deux c’est sûr et moi je pense que de manière générale, d’un point de vue individuel c’est un de mes meilleurs matchs. Après je pense qu’à Perpignan, à part en finale, on a quand même fait de très gros matchs. C’est quand même un match référence pour nous. »

Nasser Housseini

Passionné de football, j’ai découvert le padel en 2019. Depuis, c’est l’amour fou avec ce sport au point de délaisser mon sport de prédilection.