Pour tout joueur de padel, le dilemme est constant : comment trouver la chaussure parfaite qui offre à la fois une vitesse explosive, un maintien sans faille et un confort durable ? La plupart du temps, choisir l’une de ces qualités signifie en sacrifier une autre.
La Babolat Jet Premura 3 arrive dès aujourd’hui. Il aura fallu patienter trois ans depuis la sortie de la V2 en 2022 pour découvrir ce nouveau millésime. Elle ne cherche pas à tout réinventer, mais à imposer un nouveau standard d’excellence. Loin de vouloir casser les codes qu’elle a elle-même établis, elle incarne l’aboutissement d’une lignée qui s’est irrévocablement bonifiée avec le temps. Sublimant l’héritage de ses aînées pour atteindre aujourd’hui la maturité absolue, elle cache derrière son design racé une série d’optimisations décisives qui en font la chaussure de padel la plus aboutie jamais conçue par Babolat.
Ce patronyme n’a d’ailleurs pas été choisi au hasard : si “Jet” évoque la vitesse pure, “Premura” signifie “urgence” ou “hâte” en italien. Une définition littérale des besoins du padel, où la réactivité immédiate l’emporte sur la course linéaire.

L’histoire cachée : quand le padel n’avait pas ses chaussures
Cela semble incroyable, mais avant le lancement de la Jet Premura par Babolat en 2019, aucune chaussure n’avait été spécifiquement conçue pour le padel. Même en Espagne, où ce sport est un phénomène depuis plus de vingt ans, les joueurs utilisaient des chaussures de tennis. Ils se tournaient le plus souvent vers des modèles pour terre battue, considérés comme l’option “la moins mauvaise”. Le motif à chevrons de ces semelles offrait une vague ressemblance avec le type de glisse contrôlée nécessaire sur le sable des courts de padel, comblant un vide technologique évident.
Face à cette situation, l’impulsion pour l’innovation est devenue une évidence pour l’équipementier lyonnais : “Nous, pionniers de l’innovation dans le sport de raquette, avec Michelin sur l’adhésion, il faut qu’on fasse une chaussure pour le joueur de padel.”
Plus qu’une semelle : 20 ans d’ingénierie Michelin sous vos pieds
Le premier secret se trouve sous la chaussure, fruit d’une collaboration de plus de 20 ans entre Babolat et un partenaire inattendu : Michelin. Si les joueurs ressentent une adhérence exceptionnelle, peu réalisent qu’ils courent sur deux décennies d’ingénierie du pneu.
Pour comprendre la légitimité de cette innovation, il faut remonter à 2003. C’est à cette date que Babolat et Michelin ont initié leur collaboration, d’abord pour les chaussures de tennis. Ce partenariat n’est pas un simple hasard géographique entre un expert lyonnais et un géant de Clermont-Ferrand. Il s’agit d’une alliance technologique évidente. Babolat, qui a fabriqué des cordages pendant 120 ans avant de concevoir sa première raquette, possède un ADN d’innovation technique. S’associer à Michelin, leader mondial de l’adhérence, était une suite logique pour maîtriser le contact au sol.
L’expertise de Michelin va bien au-delà du caoutchouc. Un exemple le prouve : leur capacité à créer de l’adhérence sur de la glace. Une entreprise capable de résoudre le problème de grip le plus extrême qui soit possède forcément la compréhension nuancée requise pour perfectionner l’adhérence subtile et différenciée exigée par une moquette de padel.
Ce partenariat applique la même obsession pour l’adhérence et la résistance à l’usure qui maintient un véhicule de haute performance collé à l’asphalte, mais adaptée aux arrêts et démarrages explosifs d’une partie de padel. Le résultat est une formulation de caoutchouc unique, conçue pour offrir le compromis idéal entre un grip maximal et une durabilité à toute épreuve.

Anatomie d’une révolution : la semelle en 3 couches
La “semelle” est en réalité un système complexe composé de trois éléments distincts, chacun jouant un rôle crucial dans la performance et la sécurité.
La semelle intermédiaire : C’est le cœur du confort et du dynamisme. Sa mousse est conçue pour offrir un bon amorti et une bonne relance, protégeant les articulations tout en restituant l’énergie.
La pièce de rigidité (ou « Shank ») : Ce châssis central en TPU*, immédiatement identifiable sous la semelle, agit comme une véritable colonne vertébrale. Situé au niveau du médiopied, ce renfort est le garant de la stabilité. Il contrôle la torsion, stabilise l’arche plantaire (surtout lors des appuis latéraux) et prévient toute souplesse parasite, évitant ainsi que la chaussure ne se déforme de manière incontrôlée sous la contrainte des appuis extrêmes.
(Note technique : le TPU est un plastique obtenu par un procédé de polymérisation à plusieurs degrés).
La semelle d’usure : C’est la partie en contact avec le sol, intégralement développée avec Michelin. C’est elle qui traduit toute la recherche sur les matériaux en adhérence et en durabilité.
Ainsi, la semelle n’est pas une simple couche de caoutchouc, mais un système d’ingénierie intégré où le confort de la semelle intermédiaire, la stabilité de la pièce de rigidité et l’adhérence de la semelle d’usure collaborent pour un objectif unique : la performance du joueur.
Padel vs. tennis : Deux sports, deux philosophies
L’éternelle comparaison a fait son temps. Certes, le tennis a longtemps dicté ses codes au padel durant ses premières décennies, mais ce dernier a aujourd’hui définitivement pris son envol et affirmé son identité propre.
Il est donc crucial de le rappeler : concevoir une chaussure de padel, ce n’est pas simplement “alléger” un modèle de tennis. C’est repenser entièrement l’équipement autour de la biomécanique spécifique du joueur. Les partis pris de conception sont donc radicalement différents et se concentrent sur trois axes majeurs.
Une souplesse au service de la réactivité : Le padel exige des changements de direction vifs et des mouvements en réaction. La chaussure se doit d’être ultraflexible, notamment grâce à des “gorges de flexion” dans la semelle qui lui permettent de se plier sans contrainte. C’est ici qu’intervient la technologie 360° FLEX, avec ses encoches de flexion intégrées à la semelle, la réponse ultime aux mouvements multidirectionnels du padel.
Un grip hybride et zoné : L’ingénierie Michelin a divisé la semelle en deux pôles stratégiques. La zone du talon (blanche) est sculptée pour offrir une accroche maximale et assurer des freinages sécurisants. À l’inverse, la zone avant (orange) privilégie la fluidité : la géométrie de ses crampons est optimisée pour faciliter les rotations et autoriser cette glissade contrôlée, indispensable pour se jeter sur les balles courtes sans risquer le blocage articulaire.
Un composé sur mesure : L’usure sur une moquette de padel est moins agressive que sur le ciment d’un court de tennis. Le caoutchouc développé avec Michelin est donc un composé spécifique, dont la résistance à l’abrasion est optimisée pour le padel, permettant d’alléger la chaussure sans sacrifier la durabilité.

La science au service du mouvement : L’effet Blast Pad
Le grand défi de l’ingénierie d’une chaussure de padel est de résoudre une équation compliquée : comment offrir un maintien rigide pour la sécurité tout en garantissant une flexibilité maximale pour l’agilité ?
Pour repousser ces limites, Babolat s’est appuyée sur l’expertise du laboratoire HumanFab et a intégré une technologie spécialement pensée pour le padel :Blast Pad.
Ce n’est pas qu’un simple renfort, c’est une refonte biomécanique pour doper la réactivité. Concrètement, Babolat a intégré des remontées latérales stratégiques pour verrouiller l’avant-pied et ajouté une mousse EVA spécifique pour garantir un meilleur rebond lors des démarrages.
Le résultat est quantifiable : les tests prouvent une amélioration du maintien de 7% par rapport à la génération précédente. Mais le génie réside dans l’équilibre : cette stabilité accrue ne bride pas le joueur grâce à la technologie 360° FLEX, qui transforme ce support en une sensation de liberté totale.
Matryx® Micro : l’armure textile d’avant-garde
La tige de la chaussure est bien plus qu’un simple tissu : c’est une prouesse technologique signée Chamatex, l’expert français des textiles techniques. Au cœur de la performance de la Premura 3 se trouve le nouveau Matryx® MICRO. Ce matériau « actif » a été spécifiquement calibré pour résoudre une équation complexe : offrir un confort enveloppant qui sécurise le pied sans jamais le comprimer, tout en garantissant une respirabilité maximale. Concrètement, ce tissage de haute technologie laisse circuler l’air pour limiter l’échauffement et garder les pieds au sec, même lors des échanges les plus intenses. Couplée à une nouvelle languette allégée, cette innovation est la clé de la sensation « plume » caractéristique du modèle : elle réduit la fatigue ressentie pour vous permettre de conserver votre explosivité jusqu’au dernier point.

Performance durable : l’écologie sans compromis
Le confort et l’hygiène sont primordiaux, et la Premura 3 les adresse avec une intelligence particulière. La chaussure est équipée d’une semelle intérieure amovible Ortholite® HybridPlus-Recycled Bio, un atout majeur pour maintenir une hygiène parfaite et un confort constant match après match.
Mais le point le plus surprenant se cache dans sa composition : cette semelle de propreté haute performance est fabriquée à 51 % de matériaux recyclés. C’est un engagement fort qui prouve que l’innovation peut rimer avec respect de l’environnement. Babolat démontre ici qu’il est possible d’offrir un confort, une respirabilité et une durabilité exceptionnels tout en adoptant une démarche plus responsable.
L’analyse esthétique : pureté et agressivité
Visuellement, Babolat opère ici un tour de force en créant un design qui joue sur un contraste saisissant. La tige, d’un blanc immaculé, évoque la pureté, la légèreté et la technicité du tissu Matryx, donnant presque une impression de vitesse en suspension.
Mais cette sagesse apparente est brutalement contrebalancée par une semelle incisive aux teintes orange électrique et bleu cyan. Cette base “en feu” semble mordre le court, avec des renforts latéraux qui remontent telles des griffes, rappelant l’ADN prédateur du “Lobo”.
Le détail qui tue ? Le logo stylisé du loup de Juan Lebrón sur le talon et la languette, qui signe définitivement cette paire comme une arme de chasseur. C’est propre, c’est racé, et cela impose une signature visuelle immédiate : celle d’une élégance dangereuse, capable de passer de l’immobilité totale à l’attaque fulgurante en une fraction de seconde.
Pour les joueurs qui trouvent le coloris blanc craie de Juan Lebrón un peu trop audacieux (et surtout plus salissant), sachez qu’une seconde déclinaison viendra rapidement compléter la gamme. Il s’agira de la Jet Premura 3 dans sa version classique, techniquement identique mais délestée des éléments visuels exclusifs du ‘Lobo’. Ce modèle arborera une robe sombre (gris anthracite profond), subtilement rehaussée par des logos dorés et des détails blancs. Une esthétique ‘furtive’, beaucoup plus épurée et résolument premium, pour ceux qui préfèrent la sobriété à la signature du champion.
Grille de tailles : la précision au millimètre
Sur l’ensemble de la gamme qui s’étend du 39 au 48, Babolat ne propose des demi-pointures que sur quatre points stratégiques (40.5 – 42.5 – 44.5 – 46.5). . Ce n’est ni un oubli ni un choix marketing, c’est une conséquence purement technique.
Comme tous les grands fabricants, Babolat conçoit ses moules en taille US (progression régulière de 4,23 mm). Or la conversion en taille EU n’est pas parfaitement linéaire : entre certaines tailles pleines, l’écart peut grimper à 10-12 mm, ce qui est rédhibitoire pour une chaussure haute performance.
Ces quatre demi-pointures sont donc des « tailles de rattrapage » calculées avec précision : elles tombent exactement là où l’écart devient trop important, garantissant un fit au millimètre près sur toute la gamme.
Résultat : peu importe que votre pied mesure 26,7 cm, 27,5 cm ou 28,3 cm, vous avez une taille qui vous correspond parfaitement, sans vide au talon ni orteils écrasés. C’est un petit détail d’ingénierie qui fait une énorme différence quand on cherche le confort absolu dès la première séance.
Le Verdict du terrain : le « Sans-Faute » de Babolat
C’est bien beau les brevets et les collaborations scientifiques, mais qu’est-ce que ça donne en pleine action ?
Un confort immédiat et une légèreté bluffante
Je vais être direct : ce sont manifestement les chaussures les plus confortables que j’ai essayées ces derniers temps. Souvent, il faut quelques heures pour “casser” une chaussure neuve. Ici, c’est immédiat. Dès les premières foulées, la sensation de légèreté est tout bonnement hallucinante et le chaussant épouse le pied sans le moindre point de compression rigide. On retrouve l’ADN de la gamme « Jet », mais poussé à un niveau de seconde peau.
C’est un atout majeur invisible : en fin de troisième set, quand les jambes pèsent deux tonnes, le fait d’oublier totalement ses chaussures offre ce petit supplément de fraîcheur et de lucidité qui peut faire basculer le match.
Stabilité : La correction attendue
C’était le point critique à vérifier. Les modèles précédents, assez flexibles, pouvaient parfois manquer de rigueur sur les blocages très violents pour les gabarits lourds. Babolat a rectifié le tir avec brio. Les nouveaux renforts latéraux Blast Pad font un travail remarquable.
Sur le court, on sent que le pied est “verrouillé” au sol lors des changements de direction brusques, sans pour autant se sentir coincé dans une chaussure de ski. On garde la souplesse, mais on gagne une sécurité latérale qui permet d’aller chercher des balles difficiles en toute confiance, sans peur de la torsion.
L’effet Michelin : Une relance explosive
La semelle tient ses promesses. Le grip est mordant, peut-être même plus que d’habitude. Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est la capacité de la semelle 360° Flex à suivre la déformation du pied. Sur les démarrages (les fameux “start-and-stop” du padel), on ne perd aucune énergie. La chaussure ne “rippe” pas, elle plante, elle plie, et elle renvoie. C’est dynamique, vif et silencieux.
Un dernier point crucial : la gestion de la chaleur. Le nouveau Matryx Micro joue parfaitement son rôle. Même après une session intense de 90 minutes en indoor, la sensation d’étuve est inexistante. Le pied respire, et le maintien reste constant même lorsque la chaussette est humide.

L’Évolution intelligente : gommer les défauts, bonifier les qualités
C’est ici que l’évolution est la plus marquante. La Jet Premura 3 s’est affinée pour atteindre la maturité. Babolat a su écouter les retours pour livrer une copie quasi parfaite :
- On conserve la flexibilité légendaire (360° Flex).
- On corrige le léger manque de stabilité de la V2 grâce aux nouveaux renforts latéraux et au talon retravaillé.
- On upgrade la tige : la technologie Matryx Micro supplante la Matryx Evo. Ce tissage haute performance combine fibres techniques et zones de ventilation ciblées pour offrir le compromis ultime entre confort enveloppant, légèreté et respirabilité.
Le résultat est sans équivoque : en se délestant de ses rares défauts passés pour sublimer ses atouts historiques, la Premura 3 n’est plus seulement une référence de légèreté. C’est désormais une chaussure complète, livrant une copie quasi parfaite.
Le niveau d’anticipation et de recherche derrière un tel produit est colossal. Le cycle de développement complet, du premier brief identifiant les besoins des joueurs jusqu’à la commercialisation, s’étend sur 2 ans et demi à 3 ans. Ce processus long et méticuleux témoigne de l’innovation constante nécessaire pour équiper les athlètes de demain.

Premura 2 vs Premura 3 : le poids de la raison
Sur la balance, un constat peut surprendre les puristes de la fiche technique : la Premura 3 est très légèrement plus lourde que sa devancière (environ 12 g d’écart, avec 359 g en 44,5 pour la V3 contre 347 g en 45 pour la V2).
D’où vient ce surplus alors que la tige Matryx Micro a été allégée ? Il provient directement du renforcement structurel. L’intégration du Blast Pad et, très probablement, de la nouvelle pièce de rigidité centrale ajoutant de la matière là où c’était nécessaire.
C’est un choix d’ingénieur assumé : il est facile de faire toujours plus léger en épurant la structure à l’extrême, mais c’est souvent au détriment de la sécurité de la cheville. Ici, Babolat réinvestit quelques grammes pour gagner en stabilité. Quoi qu’il advienne, nous restons dans les standards de la légèreté absolue.
D’ailleurs, pour la petite histoire, j’ai conservé mes valeureuses Premura 2. Autant vous dire que je les ai bien poncées pendant près de trois ans, et elles tiennent encore la route ! Une preuve irréfutable que, dans cette gamme, la recherche de performance ne s’est jamais faite au détriment de la durabilité.

Conclusion : L’excellence française au service de votre jeu
Avec cette troisième itération, Babolat signe un quasi sans-faute : la Jet Premura 3 ne se contente plus d’être une bonne chaussure, elle s’impose comme une référence mondiale qui représente l’aboutissement d’une lignée déjà exceptionnelle. Cette réussite est le fruit d’une co‑innovation assumée entre plusieurs fleurons français : Michelin pour la semelle et l’adhérence, Chamatex pour le textile MATRYX, et HumanFab pour l’analyse biomécanique, chacun apportant son expertise au service d’un même produit.
Sur le terrain, les chiffres et les collaborations prestigieuses s’effacent pour laisser place à l’essentiel : une sensation de jeu transformée. La légèreté fait oublier qu’on porte des chaussures, le maintien inspire confiance dans les changements de direction les plus violents, et la flexibilité offre cette réactivité instantanée qui fait la différence sur les balles courtes. En fin de match, quand la fatigue s’installe et que chaque gramme compte, la Premura 3 continue de vous porter vers l’avant. Babolat livre ici une chaussure ultralégère, au maintien rassurant et au confort exceptionnel.
Si vous cherchez l’équipement ultime pour libérer votre jeu de jambes, ne cherchez plus : la Premura 3 est sans doute ce qui se fait de mieux à l’heure actuelle. Pour les joueurs exigeants qui refusent le compromis et veulent allier vitesse, stabilité et confort, cette chaussure représente l’aboutissement de décennies d’innovation. C’est tout simplement le nouveau standard de référence dans l’univers des chaussures de padel.
Fan de padel, Stéphane est devenu le testeur officiel de la planète padel en Europe. Tout passe par ses mains expertes. Grâce à sa grande expérience dans le monde de la raquette, il est capable de vous scanner le matos de la tête aux pieds !























































































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