Et si Galán et Chingotto suivaient le même chemin que Stupa et Di Nenno ?
L’histoire du padel professionnel est souvent marquée par des séparations surprenantes, parfois stratégiques, parfois précipitées. Et certains schémas semblent se répéter. Faut-il aujourd’hui craindre une issue similaire pour Alejandro Galán et Federico Chingotto, que celle vécue par Franco Stupaczuk et Martín Di Nenno ?
Le précédent Stupa / Di Nenno
Souvenez-vous : à une époque pas si lointaine, Juan Lebrón et Ale Galán dominaient outrageusement le circuit. Face à eux, la paire Stupa / Di Nenno peinait à exister. Frustrés de ne jamais pouvoir franchir ce plafond de verre, Martín Di Nenno avait fini par provoquer une séparation, malgré les réticences de son partenaire et ami d’enfance. L’objectif ? Tenter un pari fou : accéder enfin à la place de numéro 1 mondial.
Avec le recul, cette décision apparaît plus risquée qu’efficace. Car depuis, Di Nenno peine à retrouver la stabilité et les résultats espérés, tandis que Stupa semble avoir définitivement tourné la page. Des rumeurs ont même évoqué un possible retour du duo, mais Franco Stupaczuk semble engagé sur une autre voie.
Galán et Chingotto dans le même piège ?
Aujourd’hui, Galán et Chingotto semblent coincés dans une situation similaire. Leur duo séduit, leur niveau est incontesté, et pourtant… face à Coello / Tapia, ils ne trouvent pas la solution. La finale du Premier Padel de Tarragone en est un nouvel exemple : malgré leur implication, leur schéma tactique et leur régularité, l’écart de puissance et d’impact est flagrant.
Fede Chingotto, si apprécié pour son intelligence de jeu, son abnégation et son explosivité, semble aujourd’hui impuissant face à l’armada Coello, dont la domination physique et la présence en l’air pèsent de plus en plus dans le padel moderne. Car aussi talentueux soit-il, le padel de très haut niveau s’oriente désormais vers une intensité physique et une puissance que seuls quelques profils semblent capables d’assumer.
Quant à Ale Galán, son objectif reste clair : retrouver la première place mondiale. Et au vu des récentes défaites face à la paire numéro 1, la tentation de changer de partenaire pourrait revenir sur la table. D’autant que depuis le début de saison, les rumeurs de séparation sont nombreuses, même si les deux joueurs les démentent pour l’instant.
Une option Cardona en 2026 ?
Et si, comme Di Nenno en son temps, Galán tentait un coup de poker ? Un changement stratégique, un pari sur l’avenir ? Le nom de Pablo Cardona, présenté comme un futur Coello, circule parfois dans les coulisses. Encore un peu tendre, mais bourré de potentiel, le jeune Espagnol pourrait représenter un choix audacieux pour un Galán désireux de briser la spirale actuelle.
Un duo Galán / Di Nenno : fantasme ou réel projet ?
Et si, au-delà de Cardona ou d’autres jeunes talents, la vraie surprise venait de Martín Di Nenno ? Le joueur argentin, en quête de stabilité et de résultats depuis sa séparation avec Stupaczuk, pourrait trouver en Galán un partenaire à la hauteur de ses ambitions. Pour Di Nenno, ce serait une nouvelle dynamique, l’occasion d’enfin relancer sa carrière au sommet. Mais pour Galán, serait-ce réellement le changement stratégique qu’il attend ? Ce duo, bien que séduisant sur le papier, ne résoudrait pas forcément le problème central : battre Coello / Tapia dans leur registre, sur leur terrain. Et dans ce padel moderne basé sur la puissance, la complémentarité serait-elle suffisante ?
Coello / Tapia, seuls au sommet ?
En attendant, Coello et Tapia poursuivent leur démonstration. Ils n’ont pas encore trouvé d’adversaires capables de les faire réellement douter. Leur force brute, leur créativité, leur complémentarité et leur jeunesse en font les leaders incontestables du padel mondial. Finalement, leur plus grand adversaire pourrait être eux-mêmes : une éventuelle usure mentale, une blessure, ou une baisse de motivation.
Mais si la dynamique ne change pas, le duo Coello / Tapia pourrait bien régner encore très longtemps. À moins qu’un Galán ne prenne une décision radicale…
Et vous, pensez-vous qu’Ale Galán doit envisager une nouvelle association pour 2026 ?
Franck Binisti découvre le padel au Club des Pyramides en 2009 en région parisienne. Depuis, le padel fait partie de sa vie. Vous le voyez souvent faire le tour de France en allant couvrir les grands événements de padel français.























































































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Bonjour,
Actuellement qui est le meilleur partenaire pour Galan? c’est Chingotto!!! – De plus il fait évoluer son jeu en étant de plus en plus agressif (Plus de de smash plus de finalisation).
Aucun des droitiers actuels n’arrive à son niveau:
Lebron c’est mort!!
Di Nenno trop instable moins technique et agressivité /
Yangas a le physique (Grand) mais n’utilise pas son physique correctement /
Cardona trop jeune c’est bien les PAR 3 mais cela ne fait pas tout!
J’étais à Bordeaux et j’ai pu observer ce tandem – Galan ne laisse pas assez de place à Chingotto, il s’use en voulant être partout!
je retourne la question Chingotto ne devrait pas changer de partenaire ? je trouve que Galan a un problème mental face à Coello/Tapia – il fait des fautes directes dans les moments clés en plus d’un service moyen – à ce niveau cela ne passe pas!! Vu à Bordeaux mais à Tarragone…
Je ne comprends pas cette volonté de vouloir séparer ces 2 joueurs que personne n’arrive à battre à part Coello/Tapia….Pourquoi focaliser sur eux?
Nul se supporte la comparaison avec Coello. Cardona est encore trop irrégulier et se montre fragile dans les points importants. D’ailleurs Augsburger semblait lassé par son binôme. Di Nenno a le même profil que Chingotto…en un peu moins performant. Lebron pourrait être un choix audacieux… dans un monde parallèle. Reste Yanguas qui montre de très bonnes choses sur ses transitons vers l’avant face aux numéros 1 mondiaux. Mais malgré tout, il reste un bon cran en-dessous de Coello.
Plus qu’à attendre l’éclosion d’un autre grand gaucher pour Galan. Ou que Coello et Tapia se séparent, mais ça, ça ne semble pas prévu loin de là.