Alvaro Montiel Caruso est un jeune joueur espagnol de 19 ans, actuellement 107e mondial. On l’a retrouvé au FIP Rise Bandol, aux côtés de l’Italien Marco Cassetta. Ensemble, ils se sont notamment imposés face à Maxime Joris et Bastien Blanqué.

Au micro de Padel Magazine, l’un des jeunes espoirs du padel espagnol revient sur sa jeune carrière, ses débuts dans le sport et ses ambitions pour le futur.

Le padel : dans le sang depuis tout jeune

Je pense qu’il est important de dire, tout d’abord, que mon père était un joueur de padel professionnel (Gonzalo Montiel) et que, désormais, il est entraîneur professionnel. Quand j’avais 4/5 ans, mes parents avaient déjà un club de padel.

C’est à cet âge-là que j’ai commencé à jouer, à demander à des gens de jouer avec moi. Je jouais également au football à cette période. Mais vers mes 9 ans, j’ai décidé de me mettre à vraiment jouer au padel, à m’entraîner très sérieusement, à jouer mes premiers tournois.

Une vie dédiée au padel

Je m’entraînais avec mon père, qui est encore mon principal entraîneur. C’est grâce à lui que je me retrouve ici, que j’évolue dans ces tournois professionnels. Je dis toujours que c’est la meilleure chose qui ait pu m’arriver, de pouvoir faire ce que je voulais réellement. J’ai pu m’engager professionnellement dans un sport qui demande beaucoup de sacrifices, autant financièrement, physiquement… Tu es toujours loin de ta famille.

Alvaro Montiel Fip Rise Bandol

Désormais, je m’entraîne une partie de l’année à Barcelone, dans l’une des académies mais je vis à Turin. Cependant, je m’entraîne toujours avec mon père et avec Marco [Cassetta] qui vit au même endroit.

Ses objectifs pour le futur

Mon objectif, cette année, est de terminer dans le top 100. Aujourd’hui, je suis 107e mondial donc je pense que c’est tout à fait possible. Donc, ça, c’est mon objectif à court terme.

Forcément, à long terme, je rêve d’être numéro 1. Si ce n’est pas possible, être dans le top 10… et je vais tout faire pour atteindre mon objectif.

Gwenaelle Souyri

C’est son frère qui un jour lui a dit de l’accompagner sur une piste de padel, depuis, Gwenaëlle n’a plus jamais quitté le court. Sauf lorsqu’il s’agit d’aller regarder la retransmission de Padel Magazine, du World Padel Tour… ou du Premier Padel… ou des Championnats de France. En bref, elle est fan de ce sport.