La journée des huitièmes de finale du Paris Major a réservé son petit lot de surprises chez les dames, mais les principales favorites continuent leur route. Deux têtes de série importantes sont tombées : Martina Calvo / Ale Salazar (n°8) et Claudia Jensen / Alejandra Alonso (n°6).

Calvo et Salazar stoppées par Sharifova / Riera

En confiance après une demi-finale à Madrid, Martina Calvo et Ale Salazar semblaient bien parties en empochant le premier set. Mais la paire Ksenia Sharifova / Virginia Riera a totalement inversé la tendance, s’imposant 4/6 6/1 6/4. Une belle victoire pour ce duo qui signe son premier quart de finale de la saison. Elles retrouveront désormais les n°1 Delfi Brea et Gemma Triay, vainqueures solides de Guinart / Iglesias (6/2 6/3).

Jensen et Alonso piégées

Autre surprise : la sortie de route de Claudia Jensen et Alejandra Alonso, qui s’inclinent pour la première fois avant les quarts depuis le début de leur aventure commune. Elles ont été dominées par Carmen Goenaga et Bea Caldera (6/2 6/2), très inspirées. Les Espagnoles défieront en quarts les n°2 Ari Sánchez et Paula Josemaría, qui ont surclassé Caparrós / Barrera (6/3 6/0).

Les favorites assurent

Pour le reste, les grandes favorites n’ont pas tremblé. Les récentes championnes de Madrid, Claudia Fernández et Bea González, n’ont laissé aucune chance à Arruabarrena / Bidahorria (6/1 6/2). Elles joueront leur place en demi-finale face à Marta Ortega et Tamara Icardo (n°5), qui se sont imposées avec autorité face à Sainz / Llaguno (6/4 6/1).

Enfin, la dernière Française en lice, Alix Collombon, n’a pas réussi à créer l’exploit avec Ara Martínez face aux n°4 Sofia Araújo et Andrea Ustero. Défaite 6/3 6/2 pour le duo franco-espagnol, qui laisse la délégation tricolore sans représentante. Araújo et Ustero retrouveront en quarts Aranza Osoro et Vero Virseda (7/6 6/1 contre Orsi / Fassio).

Benjamin Dupouy

J’ai découvert le padel directement lors d’un tournoi, et franchement, je n’ai pas trop accroché au début. Mais la deuxième fois, ça a été le coup de foudre, et depuis, je ne rate plus un seul match. Je suis même prêt à rester éveillé jusqu’à 3h du matin pour regarder une finale de Premier Padel !