La 7e joueuse mondiale, Marta Ortega, est revenue sur le lien fort qui l’unit avec Adidas. Lors de la présentation de la nouvelle chaussure de padel dédiée à ce sport, les Crazyquick, Martita en a profité pour nous parler de son rôle actif dans le développement de cette gamme.
Peux-tu nous expliquer la différence entre la Cybersonic et la Crazyquick ?
« C’est un ressenti un peu spécial, car ce sont deux chaussures très différentes. Chacune a ses spécificités, et cela dépend beaucoup du type de joueur et des préférences personnelles. »
As-tu une connexion particulière avec Adidas ?
« Oui, en effet, j’ai une relation plus directe avec Adidas. Je travaille plus étroitement avec eux, notamment sur le développement de produits. »
Peux-tu nous en dire plus sur cette collaboration ?
« Bien sûr ! J’ai pu donner mon avis sur 3 ou 4 aspects importants, et j’étais vraiment heureuse de voir que mes suggestions ont été intégrées dans les nouvelles chaussures. Depuis les premiers tests jusqu’à la version finale, j’ai suivi de près le processus. Et comme tu le sais, le terrain de padel a beaucoup évolué. On ne glisse plus autant qu’avant, les déplacements sont plus arrêtés, donc pour moi, c’était très important d’avoir une semelle qui offre à la fois légèreté et stabilité au niveau du talon. J’ai beaucoup insisté là-dessus. »
Avec ton expérience en tant que joueuse, envisages-tu de travailler avec Adidas sur d’autres aspects, comme le développement d’équipements spécifiques ?
« Pour le moment, je veux surtout continuer à m’amuser sur le terrain en tant qu’athlète. C’est la meilleure partie de ma carrière. Mais, comme je l’ai toujours dit, j’aimerais rester impliquée avec la marque tout au long de ma vie. J’aime donner mon opinion, mais je pense qu’il y a des gens très compétents chez Adidas, des experts qui sont toujours à la pointe des innovations. J’aimerais pouvoir apporter ma contribution tout en apprenant de leur savoir-faire. »
Si un jour, pour une raison ou une autre, tu ne pouvais plus jouer, voudrais-tu rester proche de la marque ?
« Absolument ! Si un jour je ne peux plus jouer, pour quelque raison que ce soit, j’aimerais rester proche de ce monde, d’une manière ou d’une autre. Si je pouvais rester en contact avec une grande marque comme Adidas, qui a toujours été présente dans ma carrière, ce serait vraiment idéal. »
Franck Binisti découvre le padel au Club des Pyramides en 2009 en région parisienne. Depuis, le padel fait partie de sa vie. Vous le voyez souvent faire le tour de France en allant couvrir les grands événements de padel français.