Le Mondial par paires à Koweït City offre une atmosphère bien différente de celle du championnat du monde par équipes remporté l’an dernier à Doha, mais les émotions sont intactes pour Federico Chingotto. L’Argentin, l’un des visages les plus attendus de la FIP World Cup Pairs, savoure pleinement cette expérience unique :
« Le nom du tournoi dit tout : être champion du monde, c’est quelque chose d’exceptionnel », confie-t-il à elneverazo. « C’est un tournoi spécial pour tout le monde. On ressent une atmosphère différente, parce que l’enjeu est immense. Cela le rend encore plus significatif pour nous, les joueurs. »
Déjà sacré champion du monde en 2024 avec l’équipe d’Argentine, Chingotto garde un souvenir impérissable de Doha, une victoire qui a marqué sa carrière. Cette semaine, il retrouve les mêmes émotions aux côtés d’Ale Galán.
« Je le vis de la même manière, avec la même passion. Représenter mon pays, c’est évidemment particulier, mais le gagner avec Ale serait tout aussi extraordinaire. Je ressens la même intensité, la même envie et la même émotion. »
Au-delà du joueur au sommet du classement mondial, c’est aussi le petit Chingo d’autrefois qui s’exprime, celui qui rêvait déjà de padel et de grandes victoires :
« Cet enfant est toujours là, en moi, sourit-il. C’est pour ça que j’aborde cette FIP World Cup avec autant d’enthousiasme et de motivation. »
Un discours sincère et passionné, fidèle à l’image d’un Chingotto toujours animé par le même feu intérieur, qu’il s’agisse de défendre les couleurs de son pays ou de viser un nouveau titre mondial avec Galán.
J’ai découvert le padel directement lors d’un tournoi, et franchement, je n’ai pas trop accroché au début. Mais la deuxième fois, ça a été le coup de foudre, et depuis, je ne rate plus un seul match. Je suis même prêt à rester éveillé jusqu’à 3h du matin pour regarder une finale de Premier Padel !