Outre les grandes nations mondiales du padel, comme l’Espagne, l’Argentine, l’Italie ou encore la France, il y avait un pays qu’il fallait garder au coin de l’œil : les Émirats arabes unis. Une nation controversée qui a fait appel, cette année, à quatre joueurs espagnols pour renforcer ses rangs. Une façon de faire qui n’avait pas plu à tout le monde…
Peu importe les polémiques, les émiratis étaient bel et bien présents à Doha et ont essayé de défendre leur chance jusqu’au bout. Ils se sont stoppés en quart de finale, logiquement battus par une sélection portugaise survoltée.
Il restait tout de même les matchs de classement à jouer et les Émirats arabes unis les ont gérés d’une main de maître. Ça a commencé par une victoire sur le Chili, puis par une victoire sans bavure face au Brésil, lui offrant donc la cinquième place de ces Championnats du Monde.
En deux ans, le pays est passé de la 17e place (pour rappel, il y avait eu 17 équipes sélectionnées lors des Mondiaux 2022) à la 5e place. Certains diront que les Émirats ont choisi la méthode facile. Naturaliser des joueurs espagnols pour palier au niveau national qui n’a pas énormément évolué depuis les derniers mondiaux… qui se sont déroulés dans le pays !
Cependant, les Émirats arabes unis étaient pressentis comme étant un potentiel danger cette année… et cela s’est confirmé ! À part les quatre plus grandes nations (Espagne, Argentine, Italie et Portugal), peu d’équipes auraient été en mesure de vaincre cette armada émiratie… pas même les Français.
C’est son frère qui un jour lui a dit de l’accompagner sur une piste de padel, depuis, Gwenaëlle n’a plus jamais quitté le court. Sauf lorsqu’il s’agit d’aller regarder la retransmission de Padel Magazine, du World Padel Tour… ou du Premier Padel… ou des Championnats de France. En bref, elle est fan de ce sport.