Le padel gagne du terrain, parfois là où on ne l’attend pas. Cette fois, c’est l’image d’un immense nom du sport mondial qui vient nourrir la dynamique. À Doha, dans un contexte très médiatisé, Novak Djokovic est apparu raquette de padel en main, aux côtés de plusieurs figures connues du sport international. Une séquence largement partagée sur les réseaux sociaux et relayée par les canaux officiels du circuit professionnel Premier Padel.
Sans annonce formelle ni titre officiel, le message visuel est clair : le GOAT s’affiche au contact du padel, dans un moment maîtrisé, sous le soleil qatari. Une exposition qui intervient dans un pays où le développement du padel est étroitement lié aux grandes stratégies sportives internationales, notamment depuis Doha.
Une communication parfaitement calibrée
Il ne s’agit pas d’un partenariat annoncé, ni d’une nomination officielle. Mais dans l’univers du sport de haut niveau, la symbolique de l’image compte parfois autant que les mots. Le fait de voir Novak Djokovic pratiquer le padel, dans un cadre associé au circuit Premier Padel, s’inscrit dans une communication indirecte mais assumée, renforçant la crédibilité et l’attractivité du sport auprès d’un public élargi.
Ce type d’exposition n’est pas anodin. Le circuit Premier Padel, soutenu structurellement par le Qatar via des investissements majeurs dans le sport international, a toujours misé sur une stratégie d’image forte, associant le padel à des références mondiales.

Verratti et Alonso, des passerelles naturelles vers le padel
Aux côtés de Djokovic, deux autres noms familiers du grand public ont été aperçus sur la piste. Marco Verratti, passionné de padel de longue date, régulièrement vu sur les terrains et très actif dans la discipline, a une nouvelle fois confirmé son attachement à ce sport. L’international italien n’a d’ailleurs jamais caché son goût pour le padel, allant parfois jusqu’à partager des points spectaculaires, dont un tweener.
Autre présence symbolique : Fernando Alonso. Le pilote espagnol de Formule 1, amateur régulier de padel, profite souvent de ses périodes de repos entre deux Grands Prix pour jouer. Sa participation à ces moments informels autour du padel s’inscrit dans une logique désormais bien installée : celle d’un sport pratiqué et adopté par de nombreuses figures issues d’autres disciplines majeures.

L’absence remarquée de Nasser Al-Khelaïfi
Un visage manquait toutefois à l’appel. Nasser Al-Khelaïfi, président de Premier Padel, n’était pas présent à Doha lors de cette séquence. Cette absence serait liée à une blessure survenue récemment lors d’une partie de padel disputée en Angleterre.
Une stratégie d’image qui dépasse le cadre sportif
Au-delà de l’anecdote, cette séquence illustre une tendance de fond : le padel continue de s’imposer dans les cercles d’influence du sport mondial, non seulement par ses compétitions, mais aussi par sa capacité à séduire des icônes venues d’autres horizons.
Sans déclaration officielle, sans annonce marketing frontale, la présence de Novak Djokovic, entouré de figures comme Verratti et Alonso, agit comme un puissant levier de notoriété. Une manière subtile de rappeler que le padel s’inscrit désormais dans une dimension globale, à la croisée du sport, de l’image et de l’influence internationale.
Franck Binisti découvre le padel au Club des Pyramides en 2009 en région parisienne. Depuis, le padel fait partie de sa vie. Vous le voyez souvent faire le tour de France en allant couvrir les grands événements de padel français.
























































































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