Au FIP Silver Kazakhstan, les Français ont vu leur parcours s’arrêter aux portes de la finale. Carla Touly et Louise Bahurel d’un côté, Julien Seurin et Pablo Pastor de l’autre, s’inclinent après de belles batailles. Au FIP Bronze Danemark Vives et Joris ont eux aussi vu leur parcours s’arrêter en demi-finale.

Touly et Bahurel dominées par la tête de série 2

En demi-finale, Carla Touly et Louise Bahurel n’ont pas trouvé la clé face à Carolina Navarro Björk et Monica Gomez Rivas. Les Espagnoles ont fait la différence dans les moments importants, en breakant à 3/3 dans chaque manche pour s’envoler au score. Malgré de bonnes séquences de Louise Bahurel, la paire française s’incline 6/3 6/3.

Touly et Bahurel repartent toutefois avec 25 points FIP et de l’expérience, preuve d’un tournoi solide malgré cette marche trop haute en demi-finale.

Seurin / Pastor : une cruelle désillusion

Chez les messieurs, Julien Seurin et Pablo Pastor ont livré un énorme combat face à la tête de série 4, Gustavo Nunes et José Solano Marmolejo. Dans le premier set, les Espagnols font le break d’entrée et conservent leur avantage pour l’emporter 6/4.

Le deuxième acte est d’une grosse intensité. Seurin et Pastor haussent leur niveau, accrochent leurs adversaires et arrachent un tie-break haletant qu’ils remportent 8-6. Tout reste alors à jouer dans la manche décisive.

Le troisième set est équilibré et tendu. À 4-4, les Français obtiennent deux balles de break qui auraient pu changer le cours du match. Mais quelques retours manqués coûtent cher, et derrière, Nunes/Solano prennent le dessus pour conclure 6/4. Une défaite 6/4 6/7 6/4 qui laisse énormément de regrets avec ces 2 balles de breaks dans le troisième set.

Vives / Joris stoppés au Danemark

Au FIP Bronze Danemark, Manuel Vives et Maxime Joris (TS2) ont également échoué en demi-finale. Opposés à Santiago Rolla et Dylan Cuello, ils s’inclinent 6/3 6/4. Les Français, pourtant favoris sur le papier, sont tombés sur une paire redoutable au classement un peu trompeur. Rolla, notamment, est un habitué du circuit A1 Padel où il a déjà brillé. Trop solides, les deux hommes privent Vives et Joris d’une finale.

Benjamin Dupouy

J’ai découvert le padel directement lors d’un tournoi, et franchement, je n’ai pas trop accroché au début. Mais la deuxième fois, ça a été le coup de foudre, et depuis, je ne rate plus un seul match. Je suis même prêt à rester éveillé jusqu’à 3h du matin pour regarder une finale de Premier Padel !