Les huitièmes de finale du FIP Silver Napoli ont offert un bilan contrasté pour les Françaises. Entre démonstration autoritaire, élimination frustrante et qualification sans jouer, les Françaises avancent vers les quarts avec des dynamiques bien différentes.

Bahurel / Perez impressionnent

Louise Bahurel et Ana Perez n’ont laissé aucune chance à Elena Schiatelli / Nura Tomasa. Victoire expéditive 6/0 6/0, prestation ultra maîtrisée, intense et propre du début à la fin. Une démonstration de force qui confirme leur statut de paire solide du tableau.

Mais la suite s’annonce plus corsée. En quarts, elles affronteront la tête de série 4, les Italiennes Martina Parmigiani / Emily Stellato, mais il y a la place pour aller chercher une place en demi-finale. Match prévu pas avant 16h sur le court Zeus.

Dardaine / Merrah s’arrêtent aux portes des quarts

Le parcours s’arrête en revanche pour Marie-Amélie Dardaine et Steffi Merrah, battues par Lorena De Lera / Valeria Basilio sur le score de 6/3 7/5. Une rencontre accrochée dans la deuxième manche, mais les Françaises n’ont pas réussi à renverser la tendance dans les moments clés.

Une défaite frustrante au vu de leur bon début de tournoi, elles qui s’étaient auparavant imposées avec autorité au tour précédent 6/2 6/3 face à Deborah Cruciani / Micaela Moroni.

Barla / Lambert-Agosti qualifiées sans jouer

De leur côté, Kimi Barla et Lou Lambert-Agosti ont validé leur billet pour les quarts sans entrer sur la piste, leurs adversaires françaises Melissa Martin / Camille Sireix ne s’étant pas présenter pour ce duel 100 % tricolore.

Un scénario particulier, mais qui permet surtout à Barla et Lambert-Agosti d’aborder la suite avec un réel avantage physique. Elles auront très fort à faire face à la tête de série 2, Nuria Rodriguez / Marina Lobo deux joueuses du top 50 mondial. La rencontre est programmée dans la foulée du match de Bahurel sur le court Zeus.

Benjamin Dupouy

J’ai découvert le padel directement lors d’un tournoi, et franchement, je n’ai pas trop accroché au début. Mais la deuxième fois, ça a été le coup de foudre, et depuis, je ne rate plus un seul match. Je suis même prêt à rester éveillé jusqu’à 3h du matin pour regarder une finale de Premier Padel !