Après leur entrée dans le P500 organisé en marge de la finale du P250 du Head Padel Open, Sylvain Wiltord et Jean-Thomas Peyrou nous parle de leur rencontre et de leur vision du padel.

“Si je ne joue pas tous les 3 ou 4 jours, je ne suis pas bien”

Sylvain Wiltord : “Depuis un an, je pratique le padel, je regardais ça de loin. Depuis que je joue si je n’ai pas une petite partie tous les 3/4 jours, je ne suis pas bien. J’adore ! Quand j’ai reçu l’invitation de Head j’ai tout de suite dis oui”

Jean-Thomas Peyrou : “Sylvain, je l’ai croisé au Big Padel Mérignac, on avait une connaissance en commun donc on a pu jouer un petit peu ensemble. Head m’a gentiment demandé de jouer avec lui donc j’ai dit oui direct

Sylvain Wiltord : “C’est vrai qu’on s’est croisé à Bordeaux donc je n’ai pas hésité, j’ai dit oui direct

Jean-Thomas Peyrou : “C’est top pour le développement de la pratique de faire appel à des célébrités comme Sylvain. Pour développer le padel, c’est génial.

Sylvain Wiltord : “En plus, j’ai gagné mon premier match, donc je suis content !

Sylvain a une grosse marge de progression

Jean-Thomas Peyrou : “Il a une grosse marge de progression, il a de grosses aptitudes comme tous les footeux, il défend beaucoup, il se déplace bien. Petites améliorations à avoir côté volées et smash, mais il peut s’améliorer

Sylvain Wiltord : “Je suis un peu le Roger Federer du padel

On va essayer d’aller le plus loin possible, mais en tous cas ce n’est que du fun ! C’est l’esprit padel, donc c’est vrai que depuis que je joue et vu que je suis un peu fou j’ai gardé cet esprit et JT je ne l’ai pas encore vu en soirée, mais moi quand ça commence ça s’arrête jamais ! C’est pour ça que j’adore le padel, c’est partager un bon moment autour d’une bière, de mettre de la musique avec les copains. Ici, on retrouve une très bonne équipe. Quand la soirée va commencer, vous pouvez faire une interview, à la fin, je serai là avec plaisir !

Merci à vous, c’était un plaisir !

Mario Cordero

Mario Cordero est un fin technicien de l’équipe. Il observe, il analyse, il revient sur des thèmes pour apporter son expertise. Complet, l’homme l’est comme sur le terrain !