Padel Magazine – Celles qui ont fini les Masters de padel en beauté, Alejandra Salazar et Iciar Montes, nous offrent une belle interview en nous racontant leur association et le chemin parcouru pour arriver au sommet du padel mondial.
Iciar : Moi je viens du tennis. Quand j’étais petite je jouais au tennis. C’est un sport de raquette qui me plaisait beaucoup. Mais dans mon club, on a commencé à construire plusieurs terrains de padel. Le padel a ensuite commencé pour moi puisque j’ai commencé à jouer au padel de plus en plus souvent, notamment en compétition. C’est un sport très divertissant. Les relations qu’il y a dans une équipe sont très importantes et me plaisent énormément. C’est certainement la grande différence avec le monde du tennis. L’environnement de ce sport m’a beaucoup plus.
Alej : Oh non moi je n’ai jamais joué au tennis, je viens du padel et ai toujours fait ça. J’ai débuté à l’âge de 8 ans et ai maintenant 28 ans, et suis toujours une amoureuse de ce sport.
Iciar : Oh oui c’est possible, mais il faut s’adapter rapidement. Il y a des éléments bien différents comme le rebond, la coéquipière, le mur, des coups qui n’existent pas forcément. oui, c’est quand même différent.
Iciar : Le padel est vraiment un mix entre le tennis et le squash. Dans le squash, il y a beaucoup de volume, beaucoup de jeux et ça se rapproche du padel c’est pourquoi j’en parlais effectivement.
Alej : Nous avons commencé lentement, mais les choses se sont mises en places et nous avons commencé à bien jouer avec des résultats. Cette finale du masters est juste extraordinaire car nous n’étions pas les favorites pour cette compétition. On est donc très heureuse.
Alej et Iciar : Oui bien-sûr aucun changement.
Iciar : On est très bien partie. On peut faire encore mieux en jouant mieux lors de certains tournois. On travaillera et cette année 2014 sera très intéressante. On travaillera en-dehors du terrain pour être encore mieux préparée physiquement.
Iciar : C’est vrai que le destin n’a pas été clair dès le début puisque nous étions prises avec nos anciennes coéquipières. Ce n’était pas évident de savoir que nous allions jouer ensemble à l’époque. Mais, nous nous sommes retrouvées à un moment où nous étions disponibles. L’association s’est faite naturellement. C’est la vie. Nous avons testé nos compétences en jouant ensemble et puis cela a fonctionné.