Tout comme son partenaire, Enrique Goenaga est passé au micro de Padel Magazine. Avec un ticket en poche pour le tableau principal du World Padel Tour Human Padel Open, le natif de Salamanque est revenu sur ses plus beaux et pires souvenirs de padel.
Mon meilleur souvenir a été Premier Padel en Égypte l’année dernière, où nous avons réussi à atteindre les quarts de finale en battant Paquito Navarro et Juan Tello.
Mon pire souvenir, c’est la défaite lors du World Padel Tour à Malmö, l’an dernier. Je me suis fait une entorse et j’ai dû abandonner, c’est la seule fois où je n’ai pas pu terminer un match.
Qu’elle soit facile à manipuler et avec suffisamment de puissance.
Il faut qu’il défende bien, qu’il joue de bons lobs et qu’il soit assez agressif au filet.
Il ne me demande pas de choses étranges, mais plutôt des choses faciles.
Le Premier Padel Paris Major est certainement le plus incroyable des tournois, en raison des aménagements mis en place, la finale… pouvoir jouer à Roland Garros, en tant que fan de tennis, c’est quelque chose d’incroyable !
C’est cette année, 5000 € si je me souviens bien.
C’est au coude en ce moment, j’ai cette blessure depuis cette saison en raison de la forte charge en tournois.
J’aime aller dîner avec mes amis le week-end lorsque je suis à Salamanque.
Ce que j’aime le plus, évidemment, c’est de gagner. Mais en fin de compte, ce que j’apprécie également, c’est d’être entouré d’amis et de personnes que je rencontre pendant cette période et que j’apprécie.
Ce que j’aime le moins, ce sont les voyages après une défaite, car ils peuvent être très longs et difficiles.
Je parle à mon partenaire de la tactique à suivre, j’écoute de la musique et ensuite, l’échauffement de routine.
Ça m’arrive parfois, plus à l’entraînement qu’en tournoi mais ça reste quand même assez rare. En compétition, je suis d’habitude plus calme.
Oui, j’aime porter une montre rouge et m’habiller en noir.