Nos grands-parents avaient connu la guerre, nous aurons connu l’une des plus grandes crises sanitaires que le monde ait vécu.
Il faut déjà pleurer nos morts. Mais on peut pleurer aussi des vies qui s’effondrent avec l’arrêt total de la vie des entreprises.
C’est secondaire diront certains. Pourtant, aujourd’hui, les familles doivent faire face à une crise économique que nul ne pouvait anticiper.
Comme souvent, la réalité dépasse la fiction. Et on aurait préféré se passer de cet adage cette fois-ci !
Face à ce constat mortel, que devons-nous faire ? Cesser d’espérer ? Cesser de rire par égard à la gravité des circonstances ?
A chacun sa manière de faire face. Personne ne jugera. Nous avons fait le choix de poursuivre le travail sur Padel Magazine et parfois même de jouer avec l’autodérision ou de diffuser des informations décalées.
Bonne chance à tous et bien évidemment restez chez vous.