Dans la dernière partie de son entretien, Juan Lebrón s’est prêté à un exercice intéressant : livrer son regard sur les grandes figures du padel mondial. Sans filtre, parfois élogieux, parfois plus énigmatique, il dresse le portrait express de ceux qui l’ont accompagné ou défié sur les pistes.
À Arturo Coello, il reconnaît une mentalité exceptionnelle, à Agustín Tapia un talent pur, et à Franco Stupaczuk une énergie inépuisable. Il parle de Paquito Navarro comme d’« une personne merveilleuse, digne de confiance », et de Mike Yanguas, avec qui il a partagé une chambre au Mondial, comme d’« un super gars ».
Mais c’est en évoquant Ale Galán, son ancien partenaire avec qui il a tout gagné, que le ton change :
À travers donc un portrait express, Lebrón livre son regard sur les autres têtes d’affiche du circuit :
Il désigne aussi les meilleurs joueurs dans chaque domaine :
Et lui ? Dans quoi excelle-t-il ?
« Je l’ai été dans le jeu pur, dans le talent padelistique. Pendant quatre ans. »